Derrida
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TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

                     
                     
Le récit de l'Orloeuvre                     Le récit de l'Orloeuvre
Sources (*) : Au - delà de l'être : l'œuvrance               Au - delà de l'être : l'œuvrance
Ouzza Kelin - "Les récits idviens", Ed : Guilgal, 1988-2018, Page créée le 18 décembre 2004

 

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Ecrire dans la mouvance derridienne

[Le récit de l'Orloeuvre, dont nul ne répond]

Ecrire dans la mouvance derridienne Autres renvois :
   

Idixa.net, la demeure de l'Orloeuvre

   
   
Les récits danéliens (recueils et recueillements) Les récits danéliens (recueils et recueillements)
Le retour de Danel Qilen               Le retour de Danel Qilen    
                       

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On pourrait commencer par une question toute simple, que chacun a le droit de se poser. Pourquoi, à notre époque, l'oeuvre devrait-elle rester confinée dans les mondes institutionnels, ceux de l'art et de la connaissance? A elle seule, cette question aurait suffi pour justifier l'initiative. Si, en-dehors de ces mondes (ceux de l'université, des musées, de l'édition ou du spectacle), il n'y avait point de salut, alors il faudrait soit se passer de tout désir d'oeuvre, soit en passer par eux. Mais si au contraire nous récusons cette alternative, alors l'aventure de l'Orloeuvre se justifie. Elle ne rejette pas ces mondes (au contraire), mais elle refuse de s'y confiner.

Pourquoi l'Orloeuvre? Le choix de vocabulaire peut paraître simpliste et/ou paradoxal, mais ne vous méprenez pas, il n'incite à aucune revendication et n'aspire à aucune émancipation. Il ne privilégie même pas le dehors sur le dedans, l'externe sur l'interne. Il ne fait que poser un principe : pour ouvrir une place à l'oeuvre, il faut d'autres mots. C'est toujours comme ça. L'Orloeuvre creuse sous l'oeuvre un chemin qu'elle n'est jamais obligée d'emprunter. Une fois que le mouvement est lancé, plus rien ne peut l'arrêter.

D'où viennent ces controverses qui n'en finissent pas? A quoi riment ces personnages engagés dans une tâche que personne n'orchestre, pas même Bendito? D'où vient cette passion d'archive qui semble avoir saisi tous les visiteurs du loft? Sur ce point, je ne donnerai pas plus d'explications, car un récit ne s'explique pas, il se traverse. Le récit est antérieur, il précède le reste, il s'enchevêtre autour de quelques singularités en un certain lieu. Ainsi se forme un noyau autour duquel l'Orloeuvre se développe et s'étend selon ses propres règles qui sont formulables une à une, mais dont le résultat est inextricable. Il y a des histoires et des personnages, des parcours et des sources, des spectres et des revenants, et même un héros, Danel Qilen. Là vous êtes rassurés, car le texte se rattache à un genre familier (le récit) ou à un autre (l'essai). Tant mieux. Et comme l'indication d'une mouvance derridienne permet de situer l'ensemble dans une certaine parenté, dans une filiation, vous vous dîtes que vous savez à peu près de quoi il s'agit. Ouf. Alors l'Orloeuvre déconstruit? Certes, mais il y a plus. Les propositions, les énonciations, les citations et les recoupements, tout ce qui se déploie dans le site Idixa.net, réceptacle de l'Orloeuvre, tout cela ne reste pas confiné dans un dire, on vous dit que c'est un acte. Ah Ah! Alors ça performe, c'est du performatif? Il faut s'y faire, cher ami, c'est dans le réseau que vous cheminez, pas ailleurs.

L'Orloeuvre est une chose bizarre, présomptueuse, inabordable et exagérée. Impossible à décrire, impossible à résumer et aussi à faire, elle s'écrit ou se lit, deux modalités qui se croisent car le scripteur (lui aussi) est un lecteur, et le lecteur (lui aussi, comme les Orloviens) est un traducteur. Sa tâche à lui, incontournable mais qui ne peut qu'échouer, c'est de traduire dans sa propre langue.

L'Orloeuvre n'est ni un livre, ni un essai, ni un dictionnaire, ni une encyclopédie, ni .. ni... Mais alors qu'est-ce que c'est? Un objet sans queue ni tête, contraint de cheminer dans les limites étroites du site (étroites quoique extensibles jusqu'aux bornes extrêmes du réseau), une fable. Son auteur est comme tout le monde, il compose avec les limites. Par exemple celle-ci : un récit oblige dans une certaine mesure à respecter l'ordre chronologique. C'est bien ce que j'ai l'intention de faire si vous m'en laissez le temps. Dès que le moment sera venu, la chronologie se mettra en route.

 

 

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Propositions

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Là où "il faut" que les controverses s'inscrivent

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Bienvenue dans l'Orloeuvre!

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Un lieu sans finalité

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L'évasure du Cercle

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Le Cercle du Quai

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L'ourlet indéfini de l'œuvre

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Les Calepins de l'Orloeuvre

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Nul ne peut connaître l'état exact de l'Orloeuvre

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L'Orloeuvre est le lieu d'une dispute, jamais interrompue, sur les temps actuels

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Controverses et postulations (Ouzza Kelin) [CercleLune]

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Les Orloviens n'ont rien d'autre en commun que leur nom

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La circulation des productions du Quai

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On sait que le loft est hanté, bien que les spectres n'aient laissé aucune trace visible

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[Orlolivre : À Derrida, répondre, sans réponse (Une performance rue Dulne)]

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Toute oeuvre a sa place dans l'Orloeuvre

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[L'art s'efface, l'oeuvre bouge encore]

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Aux lignées de l'Orlœuvre sont attachées des signatures - mais cela n'en fait pas des ensembles

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[La topique de l'Orloeuvre est angulaire; elle se déploie en chicanes, démultipliant et fracturant ses marges]

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[Il ne reste, au-delà de l'être, qu'une valeur qui vaille : l'œuvrance, cette éjection performative, parasitaire, des alliances vie/mort]

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On peut oeuvrer, même dans l'absence d'oeuvre, et même dans la destruction de l'oeuvre

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L'Orloeuvre a toujours été double - comme la modernité

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La reproduction de l'Orloeuvre équivaut à l'Orloeuvre

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Un espace inconnu nous lie

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[L'oeuvre qui se montre ou s'écrit à Guilgal, elle y rencontre l'autre, elle s'y consume]

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Entre l'Orloeuvre et l'invisible, il n'y a qu'un baiser

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Il est impossible d'idixer l'Orloeuvre

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[Pour valoir le temps qu'on y passe et justifier la peine qu'on y met, il faut qu'une oeuvre soit impossible à faire]

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L'Orloeuvre se tient pour responsable du commencement

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[Sur les dé-nominations de l'oeuvre]

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L'émancipation de l'Orloeuvre

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Ni l'informatique, ni l'Internet, ni les réseaux [ni même tout le savoir hypertextuel du monde] JAMAIS n'aboliront le hasard

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[L'Orloeuvre étant dépourvue de toute habilitation, elle peut accueillir au même titre le légitime et le non-légitime]

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Si l'Orloeuvre ne respectait pas le silence, elle s'achèverait

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L'Orloeuvre a pour objet sa propre implosion

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Idve est le point d'absence inoccupé à partir duquel se construit l'Orloeuvre

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L'entr'ouvrement de l'Orloeuvre (Ouzza Kelin) [LEODO]

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[L'Orloeuvre s'écrit à partir d'un lieu qui ne cesse de s'ouvrir]

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Liste alphabétique des personnages virtuels de l'Orloeuvre (dits aussi Orloviens, Galgaliens ou Idviens) répartis entre hommes et femmes

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L'Idve est le canal de l'absence

 


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