Derrida
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Gilles Lipovetsky                     Gilles Lipovetsky
Sources (*) :                
Gilles Lipovetsky - "L'écran global, Culture-médias et cinéma à l'âge hypermoderne, avec Jean Serroy", Ed : Seuil, 2007,

L'écran global, Culture-médias et cinéma à l'âge hypermoderne (Gilles Lipovetsky et Jean Serroy, 2007) [LEG]

   
   
   
                 
                       

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Table

 

 

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Formulations à partir de ce texte (les têtes de chapitre sont entre crochets) :

 

[L'hypermodernité n'est pas une post-modernité : c'est une modernité au carré où tout s'extrêmise et devient vertigineux, hors limite]

[L'hypercinéma en donne toujours plus : surenchère du débordement, du trop-plein, de l'outrancier, de l'obscène, du violent et du déréglé]

[L'écran, dispositif d'image radicalement inédit inventé par le cinéma à la charnière des années 1900, est devenu global et omniprésent]

[Le cinéma illustre le lien intrinsèque de la modernité avec la mode : des figures stéréotypées, éphémères, séduisantes et facilement reconnaissables]

La généralisation de l'écran est une révolution copernicienne qui renverse la façon d'être au monde

L'hypercinéma se met en abyme en juxtaposant les dispositifs contraires : simplicité/multiplexité, immédiateté/distanciation

La publicité-marketing n'est pas une pièce extérieure, mais l'une des conditions de l'industrie cinématographique

L'image de l'hypercinéma est excessive, hyperbolique, dérégulée et autoréférentielle

Par la publicité, manifestation de l'écranophilie hypermoderne, passent le désir de cinéma et la surenchère hyperbolique

Tous les arts du 20ème siècle sont marqués par un processus de subversion radicale de leur propre forme, sauf le cinéma, car il prend la suite des grands récits mythiques

L'hypercinéma stimule le spectateur, le sollicite et le fait vibrer

L'écran ludique est oxymorique : il unit les contraires (faux/vrai, fictif/authentique)

L'histoire du cinéma est marquée par quatre moments de la modernité : primaire, classique, moderniste et hypermoderne

Depuis les années 1980, un nouveau régime historique du cinéma émerge : l'hypercinéma qui dissémine son regard et son esprit dans tous les aspects de la vie

Le cinéma est un art ontologiquement moderne par son caractère massif, démocratique et marchand

Dans le film contemporain, les structures narratives sont complexes et hétérogènes

Le cinéma peut abolir la distance entre le regardeur et l'image; mais même s'il questionne la représentation illusionniste, il ne l'abolit pas

L'écran tient moins son pouvoir de ses qualités pratiques que de la captation / fascination / séduction qu'il exerce

Dans la civilisation de l'écran, le cinéma doit se réinventer sans cesse et relancer l'offre en alimentant le besoin de nouveauté du public

Avec les séries télévisées et la télé-réalité, le star-system envahit de nouveaux territoires : la vie courante tend à ressembler à un film

Le clip musical est l'expression typique de la logique hyper : image-excès, image-multiplexe, image-distance

L'écran global, Culture-médias et cinéma à l'âge hypermoderne (Gilles Lipovetsky et Jean Serroy, 2007) [LEG]

 


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LipovetskyParcours

B2.007

YYA.2007.Lipovetsky.GillesGenre = -