Derrida
Scripteur
Mode d'emploi
 
         
           
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook

TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

DERRIDEX

Index des termes

de l'oeuvre

de Jacques Derrida

Un seul mot - ou un syntagme.

         
   
Derrida, notre époque                     Derrida, notre époque
Sources (*) : Derrida, texte, hors - texte               Derrida, texte, hors - texte
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p29

 

Rien ne precede le texte (Roberta Donoissy, 2010) -

Derrida, limitrophie, limite et arrêt

Dans une conception moderne du texte et de l'écriture, il n'y a ni préface, ni programme, ni rien qui précède le texte

Derrida, limitrophie, limite et arrêt
   
   
   
Derrida, le livre Derrida, le livre
Derrida, le rien, khôra               Derrida, le rien, khôra  
                       

Pour l'acquérir, cliquez

sur le livre

 

Cette conception moderne, Jacques Derrida la décrit par rapport à la pratique de Hegel, qui multiplie les préfaces et les introductions, tout en réaffirmant qu'un texte philosophique n'a en principe besoin ni de préface, ni d'introduction, puisque la pensée conçoit elle-même ses propres concepts (auto-production). Si les préfaces et les introductions sont néammoins nécessaires, c'est (toujours selon Hegel) par accident, à cause des défaillances de notre époque, qui oblige à corriger certaines erreurs, à entrer en conflit avec d'autres auteurs, à faire des concessions. Mais finalement cet accident s'intègre dans son système dialectique (la téléologie du savoir absolu). Hegel ne repère la conception moderne du texte (absence de préface) que pour la saturer de sens, pour réduire tout écart entre l'écriture et le vouloir-dire. Ses préfaces ont une valeur téléologique. En enfermant le texte dans un après-coup sémantique, entre une anticipation et une récapitulation, elles se muent en postfaces. Hegel reconnaît la dimension auto-productive du texte, mais refuse de perdre la tête.

 

 

Jacques Derrida s'écarte de la conception qu'il qualifie ici lui-même de moderne. Selon lui, avant le texte, il n'y a rien, mais ce n'est pas n'importe quel rien, c'est un rien qui met en marche le texte. En intégrant des traces irréductibles au texte lui-même (des inadéquations, des marques indicielles comme le "je", la date, le contexte), ce rien (khôra, qui est le lieu de la différance ou de la dissémination) laisse se réitérer des restes, des traces hors-livre.

 


Recherche dans les pages indexées d'Idixa par Google
 
   
 
 

 

 

   
 
     
 
                               
Création : Guilgal

 

 
Idixa

Marque déposée

INPI 07 3 547 007

 

Derrida
DerridaCtp

IL.OLL

DerridaTexte

CM.IMM

DerridaLimite

ED.LED

DerridaLivre

FM.LMM

DerridaRien

LL.LLK

UPrefaceModerne

Rang = N
Genre = DET - DET