Derrida
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Index des termes

de l'oeuvre

de Jacques Derrida

Un seul mot - ou un syntagme.

         
   
Derrida, la loi, le droit                     Derrida, la loi, le droit
Sources (*) : Derrida, le performatif               Derrida, le performatif
Jacques Derrida - "Force de loi - le "Fondement mystique de l'autorité"", Ed : Galilée, 1994, pp83-4

 

Ex Libris -

L'oeuvre, au - delà du performatif

La structure fondamentale du droit est tautologique : il se pose en mettant performativement en oeuvre les conventions qui décrètent quelle violence est légale ou illégale

L'oeuvre, au - delà du performatif
   
   
   
Derrida, le pouvoir, le souverain Derrida, le pouvoir, le souverain
Derrida, violence, cruauté               Derrida, violence, cruauté  
                       

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En reprenant l'analyse que fait Walter Benjamin du droit naturel et du droit positif européen dans Critique de la violence, Jacques Derrida fait remarquer que son fond théologique n'est pas différent de celui de la violence divine. Dans les deux cas, c'est la violence (dans le sens de Gewalt, qui signifie aussi autorité) qui pose et conserve le droit. Il n'y a pas de garantie extérieure à la loi. Elle se garantit elle-même dans l'acte (performatif) où elle se pose. La distinction entre violence légale et illégale qui fonde l'ordre juridique est produite par l'acte même [ou la décision, selon Carl Schmitt) qui lui donne crédit.

La violence n'est pas un moyen au service de la loi, elle est l'ordre juridique lui-même, cet ordre qui ne peut être institué, mis en oeuvre, que par la force d'un Etat - ou d'autres forces, nouvelles, qui viendraient le concurrencer ou s'y substituer, comme celle qui résulterait d'une grève générale. L'Etat n'a pas peur de la violence comme telle (comme moyen), mais d'une violence fondatrice, une violence qui légitimerait une transformation du droit, une violence qui menacerait de l'intérieur son pouvoir d'auto-justification et ferait émerger [par des forces non pas externes, mais auto-immunitaires, qui le travaillent de l'intérieur] une situation révolutionnaire.

 

 

- Ernest : L'oeuvre a la même structure que la loi. Porteuse d'une violence divine (sans quoi elle ne serait pas une oeuvre), elle a le pouvoir de nommer, un pouvoir divin.

 


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