Derrida
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Ernest Egakis                     Ernest Egakis
Sources (*) : Le lieu de l'Orloeuvre               Le lieu de l'Orloeuvre
Ernest Egakis - "Le démon du juste", Ed : Galgal, 2007, Page créée par le scripteur le 13 mai 2000

 

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[Ernest Egakis]

   
   
   
                 
                       

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Ernest n'a que 25 ans, mais il est déjà médecin comme son père Albert et sa mère Emilia : mais lui n'est ni psychiatre (comme son père), ni psychanalyste (comme sa mère). Il a choisi une spécialité connexe par rapport à celle de ses parents : la phoniatrie. Grand expert pour mesurer la hauteur, la fréquence, la tonalité, l'intensité ou le timbre des voix, il adore écouter les patients, analyser leur plainte, identifier leur symptômes et mettre au point des stratégies de régulation. C'est pour lui plus qu'un métier, un art véritable.

(Ernest : les gens veulent une voix normée, qui réponde à un modèle. Ils n'arrivent pas à comprendre que la seule chose qui compte, c'est une voix juste).

- Ignace : Avant la catastrophe terrible que fut pour lui l'assassinat de son père, son seul souci était celui d'une voix juste. Il a fallu cet événement et les explications (ou prétendues explications) mises en avant par Matricia Dentyar et son complice Marcel Teghise pour qu'il commence à s'interroger sur la justice en tant que telle. Peut-être, malgré tout, n'avaient-ils pas complètement tort. Ni ses deux soeurs Estelle et Christelle, auxquelles pourtant il avait essayé de se confier, ni le groupe des chibyllins qui semblait faire le lien avec la mystérieuse Bertille, ni les filles de Matricia, Larissa et Iphianassa (ses demi-soeurs qui ne portent pas le nom de leur père, Albert, mais celui de leur mère, Dentyar), ne pouvaient le comprendre. Pour se tirer d'affaire, il n'avait guère le choix : il lui fallait s'extraire de cette famille élargie passablement pathogène. Par chance, il pouvait s'appuyer sur son activité professionnelle, et aussi sur quelques amis comme ex-collègue Herbert Silinov, qui n'avait pas suivi le même chemin mais avec lequel le dialogue était toujours possible.

 

 

 

 

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

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[La justice est l'axiome unique qui peut servir de fondement]

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[(CinéAnalyse) : En érigeant l'inconditionnalité comme principe de justice]

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Il n'y a pas de contenu connu pour la justice : elle est à produire dans des jugements justes, au coup par coup, et jamais selon une conformité à une définition

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La fonction de la voix est d'abord d'appeler la justice

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En chaque oeuvre s'invente une "justesse" incalculable

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Le démon du juste (Ernest Egakis, 2007) [LDDJ]

Après tout Bertille étant chanteuse, et la meilleure vengeance, s'il devait y en avoir une, devait passer par la musique.

 


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