Derrida
Scripteur
Mode d'emploi
 
         
           
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook

TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

DERRIDEX

Index des termes

de l'oeuvre

de Jacques Derrida

Un seul mot - ou un syntagme.

         
   
Derrida, le logos, logocentrisme                     Derrida, le logos, logocentrisme
Sources (*) : Derrida, le pouvoir, le souverain               Derrida, le pouvoir, le souverain
Jacques Derrida - "Séminaire 2001-02 "La bête et le souverain" Volume 1", Ed : Galilée, 2008, p423

 

Christ Pantokrator -

Derrida, la raison

Dès les débuts de la philosophie grecque, le logos a violemment imposé sa souveraineté, sous le déguisement de la raison, de l'entendement ou de la logique

Derrida, la raison
   
   
   
Derrida, la philosophie Derrida, la philosophie
Derrida, violence, cruauté               Derrida, violence, cruauté  
                       

Pour l'acquérir, cliquez

sur le livre

 

En partant des questions posées par Heidegger dans son Introduction à la métaphysique, Jacques Derrida se demande comment le logos a pu devenir, dès le départ, plus fort que l'être. Il s'agit bien, selon lui, d'un rapport de force : forçage, maîtrise, domination, hégémonie, souveraineté. D'autres écoutes du logos auraient été possibles [lesquelles? Le mythe? Un autre mode de penser?], mais c'est la raison qui l'a emporté. Si Aristote a pu qualifier l'homme d'"être vivant doué de raison" ou d'"animal rationnel" (deux traductions possibles du syntagme zôon logon echon), c'est parce que la force est passée du côté de la raison. Il a fallu une décision arbitraire pour rassembler, recueillir, mettre ensemble des mots, tout un lexique, pour les retenir, sans dispersion, dans une appartenance mutuelle, durable. Le logos était, dès le départ, de l'ordre du pouvoir, de l'autorité (Gewalt), de la puissance. Son règne était politique.

"Au commencement était le verbe (logos), et le verbe était Dieu" dit l'Evangile de Jean. Pour les chrétiens, ce verbe est un seul étant : le fils de Dieu, ce médiateur qui unit dans son corps le verbe (logos) et la vie (zôê). Dans cette appropriation chrétienne du logos grec, il y va à la fois du commandement, du performatif et de la vie, ce que Derrida appelle une logo-zoïe. Le Christ est le logos, il l'a, il l'incarne.

 

 

 


Recherche dans les pages indexées d'Idixa par Google
 
   
 
 

 

 

   
 
     
 
                               
Création : Guilgal

 

 
Idixa

Marque déposée

INPI 07 3 547 007

 

Derrida
DerridaLogocentrisme

AV.LEV

ProSouverain

VC.LDF

DerridaRaison

OD.LLK

DerridaPhilosophie

ME.LEE

DerridaViolence

HH.MLK

ULogosGrecs

Rang = OLogosGrecs
Genre = MR - IA