Derrida
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Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
Archi - oeuvre, modernité                     Archi - oeuvre, modernité
Sources (*) : Logocentrisme ou dissémination               Logocentrisme ou dissémination
Meyer Schapiro - "Style, artiste et société", Ed : Gallimard, 1982, p333

 

Cafe nocturne en Arles (Vincent Van Gogh, 1888) -

Van Gogh, la loi de l'excès

La peinture est, pour Van Gogh, un acte d'intelligence supérieure qui lui permet de prévenir l'effondrement qui approche

Van Gogh, la loi de l'excès
   
   
   
Le cadre (ce qui s'en éparpille) Le cadre (ce qui s'en éparpille)
                 
                       

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Quel que soit son sujet, Van Gogh est saisi d'émotion. Il se voit contraint à intensifier les couleurs et les lignes. Ce qui est calme dans la nature devient instable pour lui. Sa violence de sentiment éclate, mais dès qu'il a fini l'oeuvre, il se sent apaisé. Plus le sujet est bouleversant, plus il se sent soulagé après avoir peint. C'est le cas même pour ses tableaux les plus dramatiques, comme Champ de blé au ciel menaçant avec corbeau, peint peu avant sa mort (1890). Le travail de peintre a, pour lui, une fonction reconstituante. Il le dit dans ses lettres : c'est un paratonnerre contre sa maladie. Lucide, il surveille son propre comportement. Il fait un effort intense de contrôle et d'organisation. Ses lettres jettent de remarquables lumières sur les problèmes de la peinture; on pourrait construire à partir d'elles toute une esthétique. Il sait que la passion qui anime son oeuvre est tirée de ses conflits mentaux, et qu'à l'extrêmité de son angoisse, c'est dans l'ordre arithmétique des couleurs et des formes qu'il trouvera une résistance à la désintégration.

Arles, Café nocturne (Vincent Van Gogh, 1888).

 

 

Van Gogh exprime sa dépression dans les couleurs habituelles de la tristesse chez, lui, le vert et le rouge, ces couleurs qui sont aussi celles de l'auto-dépréciation.

 


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