Derrida
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Un seul mot - ou un syntagme.

         
   
Derrida, plaisir, jouissance                     Derrida, plaisir, jouissance
Sources (*) : Derrida, le livre               Derrida, le livre
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, pp74-76

 

Rose dans un vase (Giovanni Boldini) -

Derrida, la littérature

Dans la coupe multiple où se produit la dissémination, au-delà du tout, le plaisir littéraire a lieu

Derrida, la littérature
   
   
   
               
                       

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Question [très conventionnelle, dans cette forme qui n'est pas derridienne] : D'où vient le plaisir que nous prenons au texte littéraire? Réponse derridienne : quand se produit la dissémination, alors se produit aussi le plaisir. Citation (p75) : "La dissémination (se) produit (dans) cela : coupe de plaisir". Il s'agit bien d'une coupe, une coupe de plaisir, avec le double sens du mot "coupe" : l'acte de couper / le lieu où l'on recueille. Une coupe de plaisir, c'est un arrêt, une interruption [à noter que cette formulation intervient à la fin du texte intitulé "Hors-livre", qui sert de préface au livre La Dissémination, sans en être une. D'un coup la préface s'interrompt, et laisse place au texte - comme si elle-même était hors-texte. Mais il n'y a pas de hors-texte, première équivoque]. Dans la coupe, le plaisir est recueilli, mais il est aussi nié. Pour qu'il y ait plaisir, il faut que le refoulement soit "à la fois maintenu et levé" dit Freud, qui traite ainsi les oppositions de concepts : en les brouillant (ce que Derrida appelle l'hymen). Donc revenons à la question. Qu'est-ce que ce plaisir "d'essence quansiment littéraire"? Une prime, quelque chose qui vient en plus. En plus de quoi? De rien.

 

 

Le texte n'est rien, et pourtant il procure cette jouissance. D'où cela vient-il? De l'au-delà du tout, dit Derrida. Le texte est une totalité, et voilà que cette totalité est débordée, qu'autre chose s'ajoute au tout, le rythme et le répète : le plaisir.

 


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