Derrida
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Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
L'art ne prétend pas au vrai                     L'art ne prétend pas au vrai
Sources (*) :              
Jacques Rancière - "Le spectateur émancipé", Ed : La Fabrique, 2008, p55

 

Fouille (Street art) -

Il n'y a aucun secret caché dans l'image ni dans la machine, mais des scènes de dissensus susceptibles de survenir n'importe où, n'importe quand

   
   
   
                 
                       

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La tradition critique suppose une vérité cachée qu'on pourrait exhiber par la démonstration ou l'oeuvre d'art, en dénonçant l'illusion ou la tromperie des apparences. Après l'abandon de l'horizon d'émancipation hérité du marxisme, cette posture se prolonge dans la mélancolie de gauche [Je sais que c'est une illusion mais je dénonce quand même] ou dans la récupération de droite [Vous voyez, même quand vous dénoncez, vous êtes complices de ce que vous dénoncez]. Jacques Rancière s'éloigne de ces "critiques inversées". L'émancipation n'est pas nécessairement la fin d'un processus qui aurait séparé la société de sa vérité. Les individus sont multiples, les textes et les images prolifèrent, des formes inédites d'expériences vécues peuvent toucher n'importe qui sans être des simulacres, des mensonges ni des illusions. La critique n'a pas pour but de soigner des incapables qui ne savent pas voir, ni des imbéciles qui prennent des images pour des réalités.

 

 

 


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