Derrida
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Michael Teelmiss                     Michael Teelmiss
Sources (*) : Le lieu de l'Orloeuvre               Le lieu de l'Orloeuvre
Michael Teelmiss - "Plier le temps", Ed : Galgal, 2007, Page créée vers le scripteur le 15 avril 2000

 

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[Michael Teelmiss]

   
   
   
                 
                       

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(Michael : Tout le monde pense que je suis australien - ou alors d'origine australienne, comme on dit. Mais je n'ai fait que passer par là-bas, à la suite de mon père qui était aussi passé par là-bas).

- O. : Son père (qui s'appelait Tahlmass) était allemand. C'était un homme autoritaire, mais qui ne savait pas lui-même ce qu'il voulait. Il était fatal que sa progéniture se projette elle aussi dans l'errance.

(Michael : Non, je n'ai pas fui. Si j'avais voulu fuir, j'aurais fait autrement. Je suis venu en Europe, j'ai émigré comme mon père, et d'ailleurs je n'ai pas trouvé du premier coup. L'Allemagne était tentante, mais j'ai préféré l'éviter - il n'y a pas pire danger que le retour aux ancêtres. Il m'a fallu pour cela passer par la Hollande et l'Angleterre, avant de déboucher sur Paris).

- O. : La profession de Michael est peu courante : il est gardien d'écluses. Il y a peu d'écluses en Ile-de-France, mais ça suffit pour son bonheur. Il surveille du matin au soeur le canal de l'Ourcq où ne passent que quelques barges et deux ou trois bateaux de plaisance.

(Michael : on pourrait croire que l'eau s'écoule comme le temps, mais ce serait une grave erreur. L'eau est homogène, tandis que le temps est hétérogène - en tous c'est ce que j'aime en lui, c'est l'anachronisme qui me fait vivre).

- O. : Michael aime prendre son temps. Il est toujours disponible pour discuter avec ses amis : du discord dans l'art avec Lorenzo, des dernières nouvelles du jour avec Léo ou de choses plus intimes avec Amarante. Souvent, c'est eux qui lui rendent visite au bord de l'écluse; ils adorent ça. (C'est comme s'ils avaient quitté Paris, le temps d'un petit blabla).

(Michael : De toutes façons, l'Australie, c'est trop loin pour eux. Ils n'imaginent même pas que quelqu'un puisse venir de là-bas. C'est tout juste s'ils me prennent pour un Irlandais. D'un île à une autre, y a-t-il une quelconque différence? A moi de leur dire que, justement, c'est cet écart-là qui compte).

 

 

 

 

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

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[Pour affronter le néant, l'art moderne ne peut compter sur aucune consistance]

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[Avec la modernité, le temps fait son apparition comme dimension spécifique]

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[La voix humaine est l'origine du temps]

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[La causalité est une abstraction de notre perception du temps]

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[(CinéAnalyse) : En portant une alliance d'un autre type]

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Le temps nous échappe comme un rythme vocal

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L'image est un symptôme qui ouvre le temps

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Le temps est cela même qui efface le temps; il ne se donne à lire que dans le cercle où s'écrit cet effacement

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Les calendriers ne mesurent pas le temps comme des horloges; ils sont les monuments d'une conscience historique dont toute trace semble avoir disparu

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Plier le temps (Michael Teelmiss, 2007) [PLT]

 


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