Derrida
Scripteur
Mode d'emploi
 
         
           
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook

TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
Soutine peint ce qu'il ne dit pas                     Soutine peint ce qu'il ne dit pas
Sources (*) :              
Clement Greenberg - "Art et culture, essais critiques", Ed : Macula, 1988, p118

 

Mardi gras (Jacques Lipchitz, 1920) -

Chagall, Soutine, Lipchitz, arrivés à Paris peu avant 1914, ont voulu réconcilier la peinture moderniste avec la peinture pré-impressionniste

   
   
   
                 
                       

Pour l'acquérir, cliquez

sur le livre

 

Après la guerre, les cubistes se livraient à une consolidation de leurs expériences. Ils étaient quasiment nés dans le musée, alors que les trois artistes juifs voulaient prouver leur droit au musée et à la tradition.

Lipchitz avait de grandes ambitions académiques. Sa meilleure période se situe entre 1925 et 1930. Il abandonne alors le vocabulaire du cubisme, mais continue à souscrire à ses objectifs. Il essaie depuis 1927 de trouver un compromis, mais il manque de finesse et ses objectifs sont trop grandioses.

De même, Soutine essaie de combiner les ombres et lumières des maîtres anciens avec la couleur sans dégradé post-impressionniste.

Lipchitz a manqué d'un sens clair de sa direction.

-------

Greenberg est tenté de réduire Soutine à ses dispositifs techniques - il n'a aucune empathie pour lui.

 

 

 


Recherche dans les pages indexées d'Idixa par Google
 
   
 
 

 

 

   
 
     
 
                               
Création : Guilgal

 

 
Idixa

Marque déposée

INPI 07 3 547 007

 

Greenberg
SoutineParcours

TT.LGG

T.peintresjuifs

Rang = V
Genre = MK - NG