Derrida
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                            NIVEAUX DE SENS :

 
   
Liliane Hermenault                     Liliane Hermenault
Sources (*) :              
Liliane Hermenault - "Le sens de l'affect", Ed : Galgal, 2007, Page créée par le scripteur le 10 septembre 2001

 

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[Liliane Hermenault]

   
   
   
                 
                       

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(Liliane : Quand j'étais gamine, ils m'appelaient la fadasse. J'ai mis longtemps pour comprendre que ce n'était pas de ma peau qu'ils parlaient, mais de moi-même).

- O. : La première fois qu'elle a mis les pieds quai de l'Idve, elle était en ordre de mission. Elle travaillait pour une petite télé qui cherchait des scoops, et qui sait, il y aurait peut-être un petit scandale à découvrir ou à déclencher par là-bas? Si elle avait vraiment voulu, elle aurait trouvé. Mais elle s'est dit qu'il valait mieux changer de camp.

(Liliane : Pour Ingfrid, dès que je lui ai parlé la première fois, je n'étais ni la fadasse, ni la petite journaliste débutante. J'étais Liliane).

- O. : A peine entrée dans le loft, Liliane a croisé Danel. Il ne lui a rien dit mais elle, elle a tout de suite été attirée par lui. C'était le début d'une relation compliquée que jamais elle n'a eu le courage de rompre, pas même aujourd'hui, malgré son engagement dans le mouvement féministe.

(Liliane : Pourquoi est-ce que j'ai jamais eu le courage de quitter cet endroit? Est-ce que c'est plus par curiosité, par désespoir, par orgueil, ou bien simplement pour leur faire plaisir à eux tous, ou bien pour faire plaisir à Danel? Je n'avais pas encore commencé à lutter contre cette satanée fagassité).

- O. : Lui, il était gouverné par l'ennui plus que par le désir. Il n'a pas agi sans malaise. Sans doute aurait-il préféré Amarante, mais c'est Liliane qui était là, consentante.

 

 

 

 

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

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[Un certain art "victimaire" contemporain instrumentalise la beauté pour faire proliférer les affects]

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[On peut, à partir du "care", repenser les frontières du juste, du genre, du travail et du corps]

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[Il faut politiser le "care" pour l'émanciper du processus vital]

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[(CinéAnalyse) : En pleurant, implorant, sans rien connaître de ce qu'on implore]

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L'émotion siège dans la voix

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Les gens qui crient sont tous seuls

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On ne peut comprendre l'éthique du "care" qu'en la replaçant dans son contexte, ce qui met en question la dichotomie entre universalisme et morales spécifiques

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La pratique du "care" exige que l'on parte du point de vue de celui qui a besoin de soins et d'attention, que l'on adopte sa perspective et que l'on envisage le monde dans ses termes

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Les femmes déchiffrent le problème moral en termes de trames, et les hommes en termes de hiérarchie

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L'espace vocal fait proliférer les affects

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Le sens de l'affect (Liliane Hermenault, 2007) [LSDA]

 


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