Derrida
Scripteur
Mode d'emploi
 
         
           
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook

 

TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

                     
                     
CinéAnalyse : le monde est parti, perdu, effondré                     CinéAnalyse : le monde est parti, perdu, effondré
Sources (*) : Le cinéloft du Quai               Le cinéloft du Quai
Louise Tehanne - "En moi le néant", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 17 mars 2020

 

-

Orlolivre : te porter, toi, dans ce monde sans monde

[(CinéAnalyse) : En vivant la perte, le départ, l'effondrement d'un monde]

Orlolivre : te porter, toi, dans ce monde sans monde
   
   
   
                 
                       

Pour l'acquérir, cliquez

sur le livre

logo

 

1951.

- Un tramway nommé désir (Elia Kazan).

1962.

- L'éclipse (Michelangelo Antonioni).

1964.

- Le désert rouge (Michelangelo Antonioni).

1977.

- Le diable probablement (Robert Bresson).

1990.

- Le syndrome asthénique (Kira Mouratova).

1996.

- Voyage au début du monde (Manoel de Oliveira).

1998.

- Sue perdue dans Manhattan (Amos Kollek). La figure la plus pathétique du sans monde. (Ce sont souvent des figures féminines qui figurent cette perte irréparable).

2001.

- Blue Velvet (David Lynch).

- Kaïro (Kiyoshi Kurosawa).

2003.

- Le Temps du Loup (Michael Haneke).

2015.

- Sayonara (Kôji Fukada).

2017.

- Mère et fils (Alexandre Sokourov).

2018.

- In my Room (Ulrich Köhler).

2022.

- Il Buco (Michelangelo Frammartino).

- Alcarràs (Carla Simon).

- Pacifiction : Tourment sur les îles (Albert Serra).

- Last words (Jonathan Nossiter).

- L'île rouge (Robin Campillo).

2023.

- Un avenir radieux (Nanni Moretti).

---

Un film, comme tel, c'est déjà un autre monde ou le monde de l'autre : le monde du film, celui du réalisateur, etc. Ce monde, en tant que spectateur, il faut que je le porte, et cela me porte encore plus à porter le monde de l'autre.

 

 

--------------

Propositions

--------------

-

In my room (Ulrich Köhler, 2018) - Ne regrettons pas ce monde disparu, et ne le reproduisons pas

-

Un tramway nommé désir (Elia Kazan, 1951) - Un monde s'en est allé, il n'en reste rien d'autre que cette femme, la folle, l'exclue, qui ébranle à jamais "notre" monde

-

Le désert rouge (Michelangelo Antonioni, 1964) - Dans les marges périphériques où le monde se perd, il n'y a personne pour me porter

-

Il Buco (Michelangelo Frammartino, 2022) - On peut pallier, par l'oeuvre, à la perte d'un regard unique, irremplaçable

-

Alcarràs aka Nos Soleils (Carla Simon, 2022) - Notre monde s'effondre, il n'y a personne pour nous porter et nous ne savons pas nous porter nous-même

-

Un avenir radieux (Nanni Moretti, 2023) - Acquiescer à la perte de mondes suppose de perdre aussi une part de soi; un quasi-suicide qui conditionne la possibilité de continuer à vivre

-

Pacifiction : Tourment sur les îles (Albert Serra, 2022) - Un pouvoir/impouvoir transactionnel, dérisoire, exposé à la dangerosité imprévisible de pouvoirs souverains

-

Last Words (Jonathan Nossiter, 2020) - Au final, c'est le cinéma qui détient le dernier mot, car au-delà de toutes les destructions, il porte encore la promesse

-

Le syndrome asthénique (Kira Mouratova, 1990) - Affirmer son soi par destruction du propre

-

L'île rouge (Robin Campillo, 2022) - Je regarde, depuis ma cachette, ce monde à la veille de sa disparition, puis je passe le témoin à un autre, sans le porter

 


Recherche dans les pages indexées d'Idixa par Google
 
   
 
 

 

 

   
 
     
 
                               
Création : Guilgal

 

 
Idixa

Marque déposée

INPI 07 3 547 007

 

CineHantise
CinePorter

AA.BBB

CineLoft

SE.LDE

MondePorter

DC.LKD

KP_CinePorter

Rang = UCinePorter
Genre = -