Derrida
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Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
André Bazin                     André Bazin
Sources (*) :              
Christian Metz - "Le signifiant imaginaire - Psychanalyse et cinéma", Ed : Union Générale d'Editions, Coll 10/18, 1977, p73-4

 

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Les conceptions du cinéma fondées sur la phénoménologie rendent compte du sentiment qu'éprouve le moi perceptif du spectateur

   
   
   
                 
                       

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Pour la phénoménologie, le sujet percevant est un cogito perceptif. C'est une pure instance de perception, le perçu étant tout entier du côté de l'objet. Cette conception a une affinité particulière avec le moi cinématographique, qui est à la place d'un sujet transcendantal (pur regard, tout-percevant). La phénoménologie en donne d'excellentes descriptions, mais en omettant de tenir compte du fait que ce moi, au cinéma, est fondamentalement leurré. Il repose sur une illusion. C'est là qu'est le point aveugle de la phénoménologie. La conception développée par André Bazin du cinéma comme vérité, réalité (réalisme), et les conceptions qui le présentent comme apparition de l'étant, dévoilement mystique ou épiphanie, y trouve leurs limites.

L'appareil topique du cinéma ressemble à l'appareil conceptuel de la phénoménologie. Tous deux favorisent l'illusion de maîtrise perceptive. Mais le moi cinématographique est marqué d'avance par l'institution (outillage utilisé, disposition de la salle, codes mis en oeuvre) et les dispositifs mentaux intériorisés.

 

 

Photo © D.R.

 


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