Derrida
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Le tout autre du principe de plaisir                     Le tout autre du principe de plaisir
Sources (*) :              
Sigmund Freud - "Essais de psychanalyse", Ed : Petite bibliothèque Payot, 1981, p50 - Au-delà du principe de plaisir

 

Les debordements du PP (Emilia Dengerfeld, 2011) -

Le plaisir est une diminution de la quantité d'excitation qui, dans la vie psychique, n'est pas liée, et le déplaisir son augmentation

   
   
   
                 
                       

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La psychanalyse admet que le déplaisir est associé à une hausse de tension, et le plaisir à une réduction. Elle introduit un facteur économique, mais sans définir véritablement ce qu'est le plaisir ou le déplaisir. Cette région psychique est la plus obscure. C'est pourquoi le psychanalyste se limite à un taux d'augmentation ou de réduction dans un temps donné. Le plaisir et le déplaisir sont associés à des conditions de stabilité ou d'instabilité. Plus il y a de stabilité, plus il y a de plaisir. L'appareil psychique a tendance à maintenir aussi basse que possible la quantité d'excitation présente en lui (principe de constance).

Le principe de plaisir est tempéré par le principe de réalité. L'organisme est capable d'ajourner une satisfaction (c'est-à-dire de tolérer du déplaisir) dans une situation qui l'oblige à tenir compte du monde extérieur. D'autre part lorsque plusieurs pulsions (d'origine intérieure) se contredisent, certaines peuvent être refoulées ou inhibées, par exemple des pulsions sexuelles, afin d'éviter un déplaisir. C'est ce qui se passe dans la névrose.

Sous-jacent au raisonnement de Freud est l'assertion suivante : plus une excitation est "liée", plus elle est satisfaisante, et moins elle est "liée", plus elle est ressentie comme déplaisir. Plus loin (p80), s'appuyant sur Breuer, Freud distingue deux types de systèmes énergétiques : l'un dont le flux est libre et se presse vers la décharge, l'autre qui est "quiescent", c'est-à-dire qui reçoit des contre-investissements liant son énergie. Devant un trauma, l'organisme réagit en tentant de lier les énergies.

 

 

La liaison des énergies n'est pas un but en soi, mais un moyen de favoriser le but ultime, qui est la décharge de la tension.

 


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