Derrida
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                            NIVEAUX DE SENS :

Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
Rachel, épouse de Jacob                     Rachel, épouse de Jacob
Sources (*) :              
Betty Rojtman - "Le pardon à la lune, Essai sur le tragique biblique", Ed : Gallimard, 2001, p77

 

Beaute du silence (Pauline Nemeau, 2012) -

La beauté de Rachel témoigne d'un des niveaux de la féminité : le silence dans le dévoilement

   
   
   
                 
                       

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Cite Rav Zadok Hacohen et le Zohar. Rachel était "belle de taille et d'apparence" [2 fois].

L'autre niveau est la reconnaissance des fautes [c'est le caché, niveau de Léa]. La force du reconnaître vient de l'occultation. Léa peut s'exhiber car elle est inaltérable. Elle peut réclamer son dû de désir car elle est gardée par l'infini qui la baigne.

Il peut y avoir dévoilement s'il y a silence. La révélation vient du retrait, de l'obscurcissement, du secret. Rachel est poussée à la dissimulation par son éclosion même. Peur devant le désir. Immanence visible, mais au-dedans.

Joseph aussi (fils de Rachel), est "beau de taille et beau de visage" [2 fois] et comme elle il est trahi par sa beauté. Esther aussi (descendante plus lointaine), adorée comme Astarté, retient ses paroles (Est 2,20). Saül aussi était très beau (I Sam 9,2). Il voulait en cacher l'exception.

Rachel est consacrée au pari de la forme. Quand elle perd, elle perd tout.

 

 

 


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