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de Jacques Derrida

Un seul mot - ou un syntagme.

         
   
Derrida, le pouvoir, le souverain                     Derrida, le pouvoir, le souverain
Sources (*) : Derrida, religion               Derrida, religion
Jacques Derrida - "Séminaire 2001-02 "La bête et le souverain" Volume 1", Ed : Galilée, 2008, p78

 

Jeune fille avec le portrait de Washington (J.J. Hawes 1850) -

Derrida, le politique

La souveraineté étatique moderne, qui se présente comme une convention humaine ou un artefact, est fondée sur une ontothéologie profonde

Derrida, le politique
   
   
   
Derrida, l'alliance Derrida, l'alliance
               
                       

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Pour Thomas Hobbes (dans le Léviathan) comme pour Carl Schmitt, les institutions politiques sont faites pour se protéger contre la violence, la peur, les instincts, l'irrationnalité, etc. Contre ces menaces, on fabrique des prothèses (l'Etat, la souveraineté) qui sont des constructions conventionnelles, des contrats entre humains dont Dieu et les animaux doivent être exclus. Pourtant le mot utilisé en anglais pour ces contrats (covenant) est aussi celui qui désigne l'alliance entre Dieu et les juifs; et cette construction se fait sur le modèle de la création divine (pour Hobbes, le Léviathan imite l'art naturel de Dieu). Pour Bodin, le souverain est l'image de Dieu. Dieu est au-delà du souverain, mais il est aussi comme le souverain du souverain, celui auquel le souverain doit rendre compte.

Dans la souveraineté moderne, humanisée et sécularisée, le souverain reste un lieutenant de Dieu, le représentant sur terre de la souveraineté absolue. Qu'il s'appelle Moïse ou Jésus-Christ, qu'il soit un roi chrétien ou une assemblée d'homme élus, dès lors qu'il est institué en souverain, il tient lieu de Dieu : il est supposé immortel, indivisible, au-dessus des lois. Et c'est justement à cause de cette extériorité qu'une convention avec lui est impossible. Ni la bête (qui ne possède pas le langage), ni Dieu (qui est silencieux) ne répondent à l'homme, et pourtant une chaîne métonymique (analogique) associe ces trois figures.

 

 

 


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