Derrida
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                            NIVEAUX DE SENS :

Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
                   
Sources (*) :              
Alain Didier-Weill, "Les trois temps de la loi", Ed : Seuil, 1995, p151

 

Mon pere (Simon Frantisek, 1898) -

Tout père réel ne peut qu'être saisi d'une crainte quand il a à répondre à l'appel du signifiant du Nom-du-Père

   
   
   
                 
                       

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Le signifiant du Nom-Père n'est pas dans l'inconscient (ce n'est pas un signifiant refoulé). Il dépend de l'intervention d'un autre, d'un tiers. Pour être transmissible, il doit passer par la réelle altérité de l'Autre. C'est pourquoi on ne rit pas d'un mot d'esprit qu'on a fait soi-même; on ne jouit pas de sa propre voix chantée. Il faut l'altérité transmise d'une autre voix. Ce signifiant est le quatrième par rapport à la triade lacanienne réel / symbolique / imaginaire (RSI).

Lorsque le père réel a à répondre de cet appel, il ne peut que trembler. Cette crainte est la traduction subjective du signifiant sidérant.

La dimension de la "crainte de dieu" retient particulièrement Lacan. Elle est porteuse de la fonction du point de capiton qui fait défaut aux psychotiques (et qui deviendra ultérieurement noeud borroméen).

L'Un-Père est la part du sujet (prophétique-poétique) qui entend l'appel du signifiant du nom-du-père.

 

 

 


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