L'Orloeuvre est faite de parcours et de cheminements. Chaque parcours commence par une page d'entête qui peut être une proposition du scripteur ou de n'importe quelle autre source. Il déroule ensuite une série de propositions. Par exemple le parcours A contiendra les propositions A1 - A2 - A3 - A4 etc... Le parcours B contiendra les propositions B1 - B2 - B3 - B4 - etc...

Un parcours peut prendre place comme proposition d'un autre parcours. Dans ce cas, par exemple, l'entête B s'inscrit dans le parcours A de la façon suivante : A4 - (A5=B) - A6 - A7 - etc... Mais l'entête A peut aussi s'inscrire dans le parcours B. On aura alors B6 - (B7=A) - B8 - B9 - etc... En d'autres termes, B est une sous-partie et A est une sous-partie de B. Cela ne pose aucun problème dans la logique idixienne. Toutes les circularités sont possibles.

Un parcours peut être un élément du cadre d'un autre parcours tout en le débordant. La logique est la même que celle que Jacques Derrida a qualifiée de loi du parergon dans l'oeuvre d'art.