Derrida
Scripteur
Mode d'emploi
 
         
           
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook

 

TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

                     
                     
CinéAnalyse : en jouant du sacrifice                     CinéAnalyse : en jouant du sacrifice
Sources (*) : Le cinéloft du Quai               Le cinéloft du Quai
Delphine Séverin - "Le nouvel ordre mythique", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 29 janvier 2019

 

-

Orlolivre : comment ne pas (se) sacrifier?

[(CinéAnalyse) : En jouant du sacrifice, pour y succomber]

Orlolivre : comment ne pas (se) sacrifier?
   
   
   
                 
                       

Pour l'acquérir, cliquez

sur le livre

logo

 

1932.

- Tabou (F.W. Murnau) - sacrifier les traditions et même les personnes, pour un film sur le sacrifice.

1942.

- To be or not to be (Ernst Lubitsch).

1959.

- Le Mirage de la Vie (Douglas Sirk).

1965.

- L'homme au crâne rasé (André Delvaux).

1973.

- The wicker man (Robin Hardy).

2012.

- Tabou (Miguel Gomes) - Impossible de sa soustraire à la pulsion sacrificielle.

2017.

- Mother (Darren Aronovski).

- Une vie violente (Thierry de Peretti).

- The third Murder (Hirokazu Kore-Eda).

2019.

- Lux Æterna (Gaspar Noé) - où on laisse entendre que tout film est fondé sur le sacrifice de la femme par des morts-vivants.

- Sans signe particulier (Fernanda Valadez).

Un sacrifice qui ne donne rien en retour, figure du mal d'abstraction.

2022.

- Saint Omer (Alice Diop).

- Esterno notte (Marco Bellocchio).

---

Le sacrifice est inhérent à l'acte filmique. Il faut faire son deuil de nombreux éléments (pensées, figures, souvenirs), il faut couper, monter, cadrer. Il y a dans toute image des mots invisibles, des secrets jetés, exclus, sacrifiés. Cette structure, qui s'inscrit à même le film, est redoublée par les sacrifices dont le film fait le récit : séparations, disparitions, abandon, dette, culpabilité, et très souvent, beaucoup plus souvent que dans la vie courante, des meurtres. On peut, dans un film, sacrifier son père, sa mère, sa femme, son enfant, ses projets, son avenir, son désir, sa lignée, sa famille, sa vie, etc. Les possibilités sont infinies. Tout est fait pour capter l'attention du public, qui semble jouir de cette logique sacrificielle.

--

 

 

--------------

Propositions

--------------

-

En se faisant, une oeuvre s'endeuille elle-même : il faut jeter, sacrifier, exclure

 


Recherche dans les pages indexées d'Idixa par Google
 
   
 
 

 

 

   
 
     
 
                               
Création : Guilgal

 

 
Idixa

Marque déposée

INPI 07 3 547 007

 

CineHantise
CineSacrifice

AA.BBB

CineLoft

HI.KHI

CulpaDette

GJ.KLL

MD_CineSacrifice

Rang = ZCineloftSacrifice
Genre = -