Derrida
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CinéAnalyse : persistance de la photographie                     CinéAnalyse : persistance de la photographie
Sources (*) : Le cinéloft du Quai               Le cinéloft du Quai
Aelia Laelia - "Transmutations photographiques", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 4 juin 2006

 

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CinéAnalyse : référent perdu, productivité infinie

[(CinéAnalyse) : En laissant persister la photographie, dans le cinéma même]

CinéAnalyse : référent perdu, productivité infinie
   
   
   
                 
                       

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1967.

- Blow-up (Antonioni).

1995.

- Sur la route de Madison (Clint Eastwood).

2010.

- L'étrange affaire Angélica (Manoel de Oliveira).

A l'instant où elle devient photographie, Angélica devient, pour Isaac, le lieu d'un appel.

2016.

- Le secret de la chambre noire (Kiyoshi Kurosawa).

2017.

- L'amour des hommes (Mehdi Ben Attia).

2018.

- Trois visages (Jafar Panahi).

Si elle ne s'était pas photographiée presque morte, pendue, Marziyeh serait passée inaperçue. Son appel n'aurait jamais été entendu.

2019.

- Camille (Boris Lojkine).

2021.

- Amira (Mohamed Diab).

2022.

- Blonde (Andrew Dominik).

- Godland (Hlynur Palmason).

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Si le cinéma est défini uniquement par son rapport au temps et au mouvement [comme le soutient Gilles Deleuze], alors il n'y a en lui que des images successives, aucune photographie. C'est ce qu'il veut donner à voir, ou ce que le spectateur voudrait, lui aussi, croire. Mais un film, même numérique, est constitué par une série de photographies. Il arrive que celle-ci, comme telle, appelle. De nombreux films témoignent de cette rémanence. On y rencontre des photographes et des photographies qui résistent au mouvement, qui font tache ou trou à l'intérieur du film.

 

 

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Propositions

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Blonde (Andrew Dominik, 2022) - S'appuyer sur le mythe le plus courant (Marilyn Monroe) pour inventer un autre référent (Norma Jean Baker), tout aussi mythique

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Le secret de la chambre noire (Kiyoshi Kurosawa, 2016) - En photographiant ceux qu'on aime, on les tue, et ce meurtre déclenche une cascade de culpabilité, de folie et de mort

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Sur la route de Madison (Clint Eastwood, 1995) - Je m'adresse à mes enfants pour leur dire : même si ce n'est qu'un rêve, un fantasme, il faut acquiescer

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Godland (Hlynur Palmason, 2022) - Quand s'effondrent les limites, les parerga, rien ne peut arrêter la violence originelle, inouïe

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L'étrange affaire Angélica (Manoel de Oliveira, 2010) : l'ange vivant de la mort appelle le photographe, il lui donne accès à un monde sans deuil, ni devoir, ni dette

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Trois visages (Jafar Panahi, 2018) - Tout commence par un appel, "Je suis morte" : pour que le visage qui précède introduise à celui qui, déjà passé, reste à venir

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Amira (Mohamed Diab, 2021) - Il suffit d'une goutte de sperme pour que s'efface la fiction d'une appartenance pure, indéniable

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Camille (Boris Lojkine, 2019) - "Il faut mourir vivant", dit la photoreporter - il en résulte, pour l'autre, un film et d'autres traces

 


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