• [(Ce qui s'écrit, ne se dit pas)]

• [Pierre Delain : il aura bien fallu qu'"il" signe de ce "nom"]

• "Buées blanches sur le quai de l'Idve" (Pierre Delain, 1988-2017) [MQi]

• Après... (Pierre Delain, 2017) [Apres]

• "Croisements" (Pierre Delain, 2004-2016) [RDLP]

• "Ciné-hantises" (Pierre Delain, 2018) [CineHantise]

• J.D. : un héritage à venir (Pierre Delain, 2018) [ParDer]

• Projet orlovien : à l'impossible deuil des spectres, je suis tenu

• L'irrecevable déconstruction du livre [Pierre Delain, IDL, 2017]

Sans doute le signataire de ces lignes aurait-il été plus fidèle à une certaine idée de lui-même s'il avait écrit qu'il n'était pour rien dans cette histoire. Mais s'il n'avait été que pour rien (s'il n'avait rien été, ou s'il n'avait eu d'être que pour le rien), aurait-il écrit? Et sachant qu'il a écrit, doit-on en déduire qu'il n'y est pas pour rien? Il serait tenté de répondre oui à cette assertion, s'il avait la certitude qu'un autre n'aurait pas pu l'écrire à sa place. Mais cette certitude-là aussi, lui est dérobée. La difficulté pour lui n'est pas qu'il aurait pu ne pas écrire (c'est alors qu'il aurait vraiment été pour rien), mais que l'invitation à écrire n'est pas une obligation. Il aurait pu tout autant ne pas écrire, et pourtant il écrit.

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Formulations à partir de ce texte (les têtes de chapitre sont entre crochets) :