Derrida
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CinéAnalyse : cette chose qui, toujours, revient : le sexe                     CinéAnalyse : cette chose qui, toujours, revient : le sexe
Sources (*) : Le cinéloft du Quai               Le cinéloft du Quai
Jacques Bardoul - "La non-circularité du Cercle", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 30 octobre 2007

 

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[(CinéAnalyse) : En revenant toujours et encore, par supplément et dissémination, à la question du sexe]

   
   
   
                 
                       

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1968.

- Barbarella (Roger Vadim).

1971.

- The Last Picture Show (Peter Bogdanovich).

Le sexe : un pharmakon qui se présente comme remède à la vacuité, mais finit par creuser un vide encore plus profond

1995.

- Showgirls (Paul Verhoeven).

1996.

- Crash (David Cronenberg).

1998.

- Sue, perdue dans Manhattan (Amos Kollek).

2013.

- Nymphomaniac (Lars von Trier).

- Parties intimes (Natalia Merkoulova et Alekseï Tchoupov).

2017.

- Mektoub my Love, Canto Uno (Abdellatif Kechiche).

2023

- Piaffe (Ann Oren).

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L'érotisation du monde a peut-être commencé avant même le cinéma, par exemple avec les pommes de Cézanne, mais c'est le cinéma et son corrélat, la publicité, qui en ont construit sa norme la plus exigeante, voire la plus brutale, qui s'impose partout, dans les pratiques comme dans l'image.

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La pornographie ne fait que porter à l'extrême la position de Sue, perdue dans Manhattan. En isolant, hypertrophiant le sexuel, elle exclut, interdit tout discours. Elle est, comme le viol, un système d'autorité, de mise en ordre. Or on sait depuis André Bazin que, dans toute image cinématographique, il y a une obscénité, une pornographie ontologique.

 

 

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Propositions

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Les pommes de Cézanne sont des offrandes érotiques (Le Berger amoureux, 1883-85)

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Notre époque ne peut imaginer d'autre salut que le plaisir comme bien public (Barbarella, film de Roger Vadim, 1968)

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L'érotisme est un contenu fondamental du cinéma, et de lui seul (par opposition aux autres arts, qui le confinent dans des "genres" spécialisés)

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Il y a une obscénité, une pornographie ontologique de l'image cinématographique

 


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