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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Le hors - sens envahit la scène | Le hors - sens envahit la scène | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Jacques Lacan - "Séminaire II, Le moi dans la théorie de Freud", Ed : Seuil, 1954-55, p202 Le sujet disparait (Geminga Dorges, 2010) - |
Quand le sujet disparaît, surgit la voix qui a le dernier mot : celle de personne |
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Lacan parle de la médiation symbolique. Elle suppose un tiers, un acte de nomination qui permette de se dégager de la relation narcissique. Dans l'apologue présenté le 15 décembre 1954, cette place était occupée dans la machine par un législateur, une grande voix dépourvue de substance. Dans la Genèse, la nomination a lieu au jardin d'Eden. Dans un rêve de Freud, celui de l'injection d'Irma, une certaine formule (dite de la triméthylamine) dépourvue de sens émerge comme la voix du tiers, c'est-à-dire celle de personne en particulier. Qu'est-ce que ce dernier mot, dépourvu de sens, porté par une voix, dont le surgissement fait s'évanouir le sujet? Chez l'homme, la relation d'objet est frappée d'une incertitude fondamentale. Nous ne saisissons l'objet que comme un mirage, en nous appuyant sur la nomination symbolique, c'est-à-dire dans une relation temporelle (plus que spatiale). Dans le rêve, le sujet se dissout, jusqu'au point où surgit un mot : une parole dépourvue de sens, qui est dans le sujet sans être la parole du sujet, et qui s'adresse à nous. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Lacan ProNonSens JJ.VBR T.emergence Rang = LGenre = DET - DET |
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