Derrida
Scripteur
Mode d'emploi
 
         
           
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook

TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
Le cinéma règle le rapport au désir                     Le cinéma règle le rapport au désir
Sources (*) : CinéAnalyse : les films, louanges de l'inconscient               CinéAnalyse : les films, louanges de l'inconscient
Christian Metz - "Le signifiant imaginaire - Psychanalyse et cinéma", Ed : Union Générale d'Editions, Coll 10/18, 1977, p136-7

 

-

Le cinéma de fiction est un accomplissement hallucinatoire de désir qui flatte ou déçoit le fantasme (conscient ou inconscient)

   
   
   
                 
                       

Pour l'acquérir, cliquez

sur le livre

 

Nous entrons avec un film dans une relation d'objet. Nous l'aimons ou ne l'aimons pas, c'est-à-dire qu'il nous procure du plaisir ou du déplaisir (ou un mélange des deux).

Nous aimons le film parce qu'il confirme nos fantasmes ou nos préjugés, ou parce qu'il satisfait nos pulsions, ou encore parce que nos défenses contre les pulsions sont intégrées dans le film lui-même.

Il y a frustration si la satisfaction pulsionnelle est insuffisante, par exemple quand le film est terne ou ennuyeux. Nous pouvons rejeter le film s'il nous a procuré des satisfactions excessives, ou encore une angoisse exagérée, que les défenses du moi (ou le surmoi) rejettent. Nous réagissons par l'indignation, le sourire ou le rire, ou encore l'allégation d'invraisemblance. Si le film ne correspond pas exactement à notre fantasme, nous n'acceptons pas toujours celui d'autrui.

 

 

Photo © D.R.

 


Recherche dans les pages indexées d'Idixa par Google
 
   
 
 

 

 

   
 
     
 
                               
Création : Guilgal

 

 
Idixa

Marque déposée

INPI 07 3 547 007

 

Metz
CinemaDesir

FI.GXC

InsuInconscient

WC.IWJ

T.réalisation

Rang = M
Genre = MH - NP