![]() |
|||||||||||||||||
Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
![]() |
CinéAnalyse : d'un film où Dieu se nomme | CinéAnalyse : d'un film où Dieu se nomme |
![]() |
||||||||||||||
Sources (*) : |
![]() |
Le cinéloft du Quai | Le cinéloft du Quai |
![]() |
|||||||||||||
Ruth Shararii - "Persévérance d'une voix", Ed : Galgal, 2007, Carte créée le 12 mai 2019 - |
[(CinéAnalyse) : En donnant à Dieu d'autres visages, d'autres voix, d'autres noms] |
||||||||||||||||
![]() |
|||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
1966. - Persona (Ingmar Bergman). 2019. - Dieu existe, son nom est Petrunya (Teonia Strugar-Mitveska). --- Il est possible mais pas indispensable qu'un film nomme Dieu pour lui donner un nom. Il peut l'oublier, l'ignorer, l'introduire de manière plus ou moins discrète, dissimulée, cryptée ou involontaire, et cela peut conduire à une nomination, à la profération d'un nom de Dieu.
|
-------------- Propositions -------------- -Dieu existe, son nom est Petrunya (Teonia Strugar-Mitevska, 2019) (God Exists, Her Name Is Petrunija) - Tragi-comique, scandaleux, inéluctable, l'événement qui fait de Dieu une femme -Persona (Ingmar Bergman, 1966) - Ce film qui se termine par "rien" déclare, au-delà de tous les simulacres, rôles ou jeux sociaux, la valeur incommensurable de ce "rien" |
|
||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
CineHantise CineDieu AA.BBB CineLoftJX.LKF KX_CineDieu Rang = YXCineNomGenre = - |
|||||||||||||||