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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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CinéAnalyse : En laissant se faire la déconstruction | CinéAnalyse : En laissant se faire la déconstruction |
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Sources (*) : |
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Le cinéloft du Quai | Le cinéloft du Quai |
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Pascual Pariselli - "L'avenir des spectres", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 14 mars 2017 - |
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Pour plus d'une déconstruction à venir | [(CinéAnalyse) : En laissant se faire la déconstruction] |
Pour plus d'une déconstruction à venir |
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1929. - L'homme à la caméra (Dziga Vertov). 1960. - La Dolce Vita (Fellini). 1980. - Stardust Memories (Woody Allen). 1981. - Blow out (Brian de Palma). 2012. - Holy Motors (Leos Carax). 2013. - Effets secondaires (Steven Soderbergh). 2022. - White Noise (Noah Baumbach). --- Il y a des films où ça déconstruit, d'autres films (parfois les mêmes) où ça se déconstruit soi-même. Cela je l'affirme, je le dis et je crois pouvoir le démontrer à une condition qui est loin d'être toujours remplie, c'est qu'il faut faire confiance aux films. Faire confiance ne veut pas dire croire tout ce qui s'y dit ou s'y montre. Faire confiance, c'est se laisser prendre au jeu du film, se laisser guider ou transformer par lui. Il n'y a pas de démonstration sans confiance, pas de confiance sans croyance, et la croyance, c'est une particularité du cinéma. Ceci étant dit, ce à quoi l'on croit dans un film n'est pas le plus visible. Ce n'est ni le scénario, ni le discours manifeste, c'est un point d'accroche qui reste à découvrir. Le génie du cinéma, c'est qu'il me donne l'espoir de découvrir ce que je crois, et qu'il m'offre aussi le plaisir de l'espoir déçu. Je peux, moi aussi, être L'homme à la caméra de Vertov, accoucher d'un nouveau monde qui, par la liberté d'un montage toujours renouvelé, garderait ses distances avec la répression politique et la guerre civile. Le cinéma étant devenu le premier des arts, il était logique que la déconstruction, elle aussi, passe par lui.
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-------------- Propositions -------------- -White Noise (Noah Baumbach, 2022) - La déconstruction ordinaire, sans réponse, ça peut se consommer sans déplaisir, mais pas sans angoisse -Dans l'"Homme à la caméra" (1929), Dziga Vertov met le leurre cinématographique en œuvre tout en le tenant à distance, le démontant et le déconstruisant -Stardust Memories (Woody Allen, 1980) - Là où je signe, j'accepte de mourir, mais là où je ne signe pas, pour longtemps, je suis encore vivant -Dans "Blow Out" (Brian de Palma, 1981) est à l'oeuvre une déconstruction de la greffe audio-visuelle : démontée, mise en scène dans son impossibilité, elle est réinscrite dans le fantasme -En échange de notre survie, nous honorons les rendez-vous qui nous sont donnés - jusqu'à épuisement (Holy Motors, film de Leos Carax, 2012) -Le film "Effets secondaires" de Steven Soderbergh (2013) est construit pour qu'on ne puisse en tirer aucune conclusion définitive : un thriller aporétique -La dolce Vita (Federico Fellini, 1960) - Dans un monde qui se déconstruit, il est tentant de se ruer sur les plaisirs, au risque d'aggraver le mal |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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CineHantise CineloftSpectral AA.BBB CineLoftUV.GGM DeconsAVenirON.LON MC_CineloftSpectral Rang = PCinemaSpectrDeconsGenre = - |
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