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| TABLE des MATIERES : | NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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| Sources (*) : | |||||||||||||||||
| Auguste Dubrard - "Fragiles édifices", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 11 octobre 2007 - | Plus on affranchit le désir, plus la normativité revient sous une forme violente et paroxystique | ||||||||||||||||
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 | Celui qui prétend s'affranchir du désir passe son temps à provoquer la morale. Ça devient une sorte de devoir, de contrainte. Le désir en liberté conduit à l'atrocité des scènes sadiennes. C'est un défi, une volonté de démontrer, qui n'ont rien de naturaliste. Chez Sade, de longues dissertations entrecoupent les scènes. Il explique qu'il n'y a pas de dieu, mais c'est une gifle à dieu. Tout se fait par rapport à lui. "Il faut que je le fasse pour montrer que, tout ça, ça ne vaut pas". La figure de l'homme de plaisir est ambigue. Sa problématique contre-morale est morale. Il n'est pas sûr que le désir soit désirable. On ne peut pas se soustraire à la question de son propre désir : elle est au fond de l'homme, toujours problématique. C'est une question radicalement éthique. | 
 
   
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| Création
      : Guilgal | 
 | Idixa | 
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| Auguste UDDJRang = O Genre = MH - NP | |||||||||||||||