Sa chance a été de connaître le yiddish, l'allemand, l'hébreu et le français dès son enfance. C'est ce qui lui a permis de prendre la suite de son grand-père - qui était déjà un érudit en matières juives, de redécouvrir le hassidisme, de traduire (avec Franz Rosenzweig) la bible en allemand, et de défendre à la fois le sionisme, l'ouverture à autrui et la démocratie.
Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)