1949.

- La fille du désert (Raoul Walsh).

Le bandit Wes sait qu'il ne peut pas éviter d'aller vers la mort, mais avant ce dernier voyage vers la Vallée de la mort (Colorado), il organise un braquage parfaitement calculé. Il déjoue les calculs de ses acolytes et ceux de la police, dans quel but? Payer sa dette par la mort. Colorado, la fille du désert, n'y peut rien.

1954.

- Voyage en Italie (Roberto Rossellini).

Il aura fallu qu'elle soit confrontée au passé, aux traditions, à la mort, pour qu'elle reconnaisse son amour.

1959.

- A bout de souffle (Jean-Luc Godard).

2016.

- La Flor (Mariano Llinas).

Dans l'épisode 3, quatre espionnes partent en mission et savent qu'elles vont mourir dans la nuit. On ne sait pas comment elles le savent, mais leur mort est programmée. Le film est l'histoire des dérapages, des incertitudes autour de cette mort. Vont-elles rater le rendez-vous? Celui qui a organisé la mission, un certain Casterman [qui n'est pas sans rapport avec certains auteurs belges de bandes dessinées] n'est-il pas en train de changer, d'évoluer, et peut-être même de trahir ses patrons? La mort peut toujours être suspendue, elle peut toujours la certitude.

--------------

Propositions

--------------